Les femmes Globe Trotteuses

Les aventures de Jade de Pékin Express 

En tant que femme voyageuse, aventurière, je dois comme les hommes, organiser mon voyage, profiter, découvrir, tout en pensant à la sé.cu.ri.té.
Ce n’est pas la mer à boire, mais c’est à prendre en compte lors de l’organisation d’un road-trip par exemple. Ne pas atterrir dans un coin « craignos », ne pas se retrouver seule dans les rues après minuit, au risque de se transformer en citrouille ou d’être embêtée sur le retour…

J’ai eu l’opportunité pour ma part de participer à une Aventure insolite, hors du commun où ma sécurité était garantie. Je ne savais pas où je partais, ni combien de temps, ni avec qui, je connaissais juste mon binôme, féminin : ma mère. Après quelques castings, des rendez-vous médicaux, de multiples mails, j’entrais dans la grande famille de Pékin Express ! Maman & moi partions les yeux bandés, les passeports étaient donnés à la production, rien ne nous permettait de savoir où nous partions ! Mais on était là, deux aventurières dans l’âme, deux scouts, deux voyageuses invétérées. L’excitation du défi, de savoir que nous allions faire quelque chose que peu réalise, là débutait l’Aventure avec un grand A, comme l’Amour qui nous lie ma mère & moi !
Pékin Express, c’est un séjour particulier, l’idée c’est d’aller d’un point A au point B, en concurrence avec d’autres binômes, c’est une course en auto-stop avec des épreuves sportives, intellectuelles, culturelles pour gagner une immunité ou un confort. Nous atterrissions au Guatemala, un pays près du Costa Rica, de la Colombie où les conditions de sécurité peuvent être préoccupantes: trafic de stupéfiants, extorsions de fonds, délinquance de droit commun (vols, agressions à main armée, …).

En  partant via ce jeu télévisé, nous avions une sécurité rapprochée, chacun de nos déplacements était couplé d’un caméraman pour filmer notre quotidien, puis dans un van qui nous suivait constamment, un journaliste, un assistant audiovisuel local, le conducteur local également. Ce van était relié à la « production maître », avec des balises, les téléphones, bref, nous n’avions rien à craindre !
La sécurité était une préoccupation en moins que ce soit lors du stop, ou
lorsqu’on dormait chez l’habitant. Tout était vérifié par la « production » afin qu’il n’y ait pas de danger.

Retrouvez les aventures de Jade :

Son voyage humanitaire au Laos

Son voyage pour défendre le cancer du sein

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